Sous une pluie battante, les yeux bouffis de sommeil (quand il faut se lever tout le monde dort), ils viennent
de partir avec j’espère des souvenirs plein la tête. J’ai même eu droit à un grand calin de N°1 qui n’est pas du genre démonstratif. Journée d’hier sous le soleil, dernier jeux, derniers
tremplins, les idées plus ou moins saugrenues fusent (lance-pierre géant et projectiles remplis de sable et cailloux) et pour finir bonheur suprême le Mac Do.
Dans les « je suis pressé de revoir… » Papa obtient la 1ère place de la part du 1 et 3.
N°2 est pressé de revoir Maminette et maman.
Un dimanche qui sera consacré pour moi à retaper un peu la maison, le top serait d’avoir un Barnaby pour siester.
N°1 est parti avec en tête un grand sujet d’étonnement, d’interrogation, presque d’incompréhension, et oui nous allons partir en vacances, qui plus est à la mer et encore plus extraordinaire sans
eux, alors là il en est resté statufié et j’ai bien vu qu’il y croyait à peine. Oui les grands-parents ont une vie en dehors des enfants, oui les grands-parents sont capables de respirer sans les
petits, difficile à intégrer tout ça.
Allez le marché et ses parapluies dégoulinants dans le cou m’attendent, les marchands ne seront pas nombreux, j’en prends le pari et la météo et ses caprices feront l’objet de conversations
désabusées.