4 novembre 2009
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05:37
Presque dans une autre vie, le radio réveil crachotait ses pubs idiotes, la météo était de novembre quand soudain les infos annoncent «
Le mur de Berlin est tombé »
C’est la première et seule fois que les larmes me brouillent les yeux en écoutant la radio.
Souvent j’ai essayé d’imaginer la vie de ces gens qui se sont réveillés un matin amputés d’une partie de leur famille, souvent je me suis penchée à ma fenêtre tentant de visualiser un mur balafrant ma rue.
Je me souviens de ces désespérés qui tentaient de rejoindre l’ouest et ses mirages.
En ce début novembre, on commémore, on se souvient, on dissèque, analyse, il n’en reste pas moins que l’homme dans sa grande stupidité n’a rien retenu des leçons du passé, il y aura toujour un côté du mur à l’ombre.
C’est la première et seule fois que les larmes me brouillent les yeux en écoutant la radio.
Souvent j’ai essayé d’imaginer la vie de ces gens qui se sont réveillés un matin amputés d’une partie de leur famille, souvent je me suis penchée à ma fenêtre tentant de visualiser un mur balafrant ma rue.
Je me souviens de ces désespérés qui tentaient de rejoindre l’ouest et ses mirages.
En ce début novembre, on commémore, on se souvient, on dissèque, analyse, il n’en reste pas moins que l’homme dans sa grande stupidité n’a rien retenu des leçons du passé, il y aura toujour un côté du mur à l’ombre.