14 décembre 2009
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Le verveine* hier
avant quelques petits flocons.
Depuis longtemps la première n’avait plus la même saveur, depuis 3 ans elle était bannie de la maison, alors à quoi bon continuer quand on ne s’autorise plus le vautrage de canapé avec la sournoise compagne.
Finalement l’auto-interdiction à du bon, pas dans la maison, pas en voiture, pas chez les amis, il ne reste plus que le jardin et en hiver où est le plaisir de se geler ainsi ?
Moins de 10 par jour est-ce bien la peine de continuer à se polluer?
Le 26 novembre à 16 h je suis en panne du poison délicieux, une évidence (presque à l’insu de mon plein gré) surgit de mon cerveau, « fini j’arrête ».
Un saut à la pharmacie pour me patcher et me voici dans la peau d’une ex-fumeuse.
Après avoir développé une énorme allergie aux patches, dont j’ai encore la trace sur les cuisses, je les ai relégués dans l’armoire à pharmacie au bout de 10 jours.
Pas de manque, pas de nervosité, ai-je jamais fumé un jour ?
Mon cerveau a sans doute fait un travail de désintoxication sans que je lui demande rien.
Finalement j’aurai passé ma vie à arrêter et cette fois-çi est la bonne, peut-être!
* De tout l'été elle n'a jamais été aussi belle!
Depuis longtemps la première n’avait plus la même saveur, depuis 3 ans elle était bannie de la maison, alors à quoi bon continuer quand on ne s’autorise plus le vautrage de canapé avec la sournoise compagne.
Finalement l’auto-interdiction à du bon, pas dans la maison, pas en voiture, pas chez les amis, il ne reste plus que le jardin et en hiver où est le plaisir de se geler ainsi ?
Moins de 10 par jour est-ce bien la peine de continuer à se polluer?
Le 26 novembre à 16 h je suis en panne du poison délicieux, une évidence (presque à l’insu de mon plein gré) surgit de mon cerveau, « fini j’arrête ».
Un saut à la pharmacie pour me patcher et me voici dans la peau d’une ex-fumeuse.
Après avoir développé une énorme allergie aux patches, dont j’ai encore la trace sur les cuisses, je les ai relégués dans l’armoire à pharmacie au bout de 10 jours.
Pas de manque, pas de nervosité, ai-je jamais fumé un jour ?
Mon cerveau a sans doute fait un travail de désintoxication sans que je lui demande rien.
Finalement j’aurai passé ma vie à arrêter et cette fois-çi est la bonne, peut-être!
* De tout l'été elle n'a jamais été aussi belle!