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vendredi 17 juin 2011
Passée la barrière psychologique de la couverture tellement trop années 70, je me laisse embarquer une fois de plus par l’Islande et le
résumé.
Le jeune homme quitte son pays pour aller sur le continent remettre en état « la plus célèbre roseraie du monde » Le continent, quel continent ?
La roseraie ? Mais où est-elle ?
Aucun indice ne s’échappe tout au long de ma lecture, ça m’agace de ne pas savoir où je suis et m'empêche de me concentrer.
Même imaginaire cet endroit pourrait être un peu plus concret.
Voyage initiatique, rencontre de personnages atypiques, y a juste un hic, je ne sais pas dans quel état j’erre.