dimanche 25 septembre 2011
Je suppose qu’ils sont déjà sur la route la voiture pleine, entre autres les kilos de billes pour Henri et les gourmandises espagnoles pour
nous, non non pas de merci pour les tentateurs.
Je me réjouis à plus d’un titre de leur venue en particulier parce que pendant leur séjour, télé et radio seront reléguées à leur juste place,
service minimum. Le maelström de catastrophes qui se déversent journellement se répandra sans me mettre dans tous mes états, a quoi sert de s’énerver stérilement quand le grain de sable que je
suis est impuissant à gripper les rouages de la machine à écraser l’espoir d’un monde meilleur.
Mais ce matin ça va, le ciel est magnifique irisé de rose, il reste quelques salades au jardin et le raisin fait de son mieux pour nous
contenter, que demander de plus ?
Pas grand chose, juste que Victor demain puisse lacher ses béquilles, arrêter les antibios et ranger le staphilocoque dans la boites des mauvais
souvenirs.
C’est demain qu’il voit le professeur au CHU.