lundi 14 janvier 2013
Depuis que je passe une heure par jour ( pas plus sinon mon neurone souffre) en compagnie d’Einstein et de Gödel j’ai une théorie sur les chaussettes orphelines, l’infini de l’univers, mais pas seulement.
J’enrichis également mon vocabulaire (des mots pas facile à placer chez le boulanger ou entre copains)
Un qui sonne bien à mes oreilles : Aporie, et puis facile à écrire (pas de Y, de PH, CH redoutables à intercaler entre des voyelles inoffensives)
Donc je rencontre Aporie et fais mouliner le moteur de recherche aussitôt.
De définitions plus ou moins hermétiques, pour moi, en explications trop longues ou trop courtes, j’arrive chez wikipedia et tout devient lumineux grâce à quelques répliques de « Garde à vue » illustrant parfaitement Aporie.
Finalement ce livre pourrait bien être dangereux, il fait réflêchir…