7 novembre 2009
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Par la magie d’un livre je viens de passer 2 jours sur une île de la Baltique, j’ai vu au loin une femme vieillissante arriver sur la
glace avec son déambulateur et son cancer, j’ai fait la connaissance d’une excentrique qui se promène dans la neige avec des escarpins italiens faits sur mesure, dont le principal travail est
d’écrire aux grands de ce monde son mécontentement, j’ai dormi dans un salon encombré d’un fourmilière, j’ai noté quelques phrases qui m’ont parlées, touchées, remuées. J’ai senti le froid, la
chaleur, les moustiques.
Un livre triste sur la maladie, la mort, la solitude, la vieillesse qui s’installe insidieusement à coups de petits renoncements quotidiens, la veille on peut encore couper du bois pendant une heure, le lendemain ça épuise !
Quand Mankel ne donne pas pas dans le polar, quand son personnage de Wallander dépressif est absent, on trouve une galerie de portraits pas forcément sympathiques mais attachants, quand Mankel est en pleine nature il nous offre des descriptions poétiques de la couleur de la mer, des arbres et des maisons en rondins, du ciel changeant.
J’ai aimé plus que je ne sais l’exprimer "Les chaussures italiennes »
Depuis quelques temps j’ai envie d’acheter certains livres empruntés à la bibli, pour les garder, les annoter, souligner, les faire miens.
Je vais les mettre sur ma liste de noël, celle écrite sur la porte de la cuisine.
Un livre triste sur la maladie, la mort, la solitude, la vieillesse qui s’installe insidieusement à coups de petits renoncements quotidiens, la veille on peut encore couper du bois pendant une heure, le lendemain ça épuise !
Quand Mankel ne donne pas pas dans le polar, quand son personnage de Wallander dépressif est absent, on trouve une galerie de portraits pas forcément sympathiques mais attachants, quand Mankel est en pleine nature il nous offre des descriptions poétiques de la couleur de la mer, des arbres et des maisons en rondins, du ciel changeant.
J’ai aimé plus que je ne sais l’exprimer "Les chaussures italiennes »
Depuis quelques temps j’ai envie d’acheter certains livres empruntés à la bibli, pour les garder, les annoter, souligner, les faire miens.
Je vais les mettre sur ma liste de noël, celle écrite sur la porte de la cuisine.