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2 décembre 2009 3 02 /12 /décembre /2009 07:52



C’est au tour de cette pièce de passer en mode « écolo-écono » le changement de plafonnier nous incite à mettre une ampoule économique, adeptes depuis le début nous supportons le petit désagrément de la mise en route, le plein éclairage prend quelques secondes mais c'est si peu à l ‘échelle d’une vie !

Exit les 3 spots bouffeurs d’énergie qui de plus éclairaient mal, bienvenue le luminaire qui nous élève au rang de citoyen responsable.

Pour des économies y a pas de doutes, nous n’allumons plus du tout tant la mise en route est longue, la lueur qui vient du salon suffit largement et puis y a qu’à laisser la porte du frigo ouverte…

Il faut se rendre à l’évidence l’ampoule économique met un certain temps pour ne pas dire un temps certain à dispenser une lumière spéciale cuisine et encore c’est un peu faible…
Sans nous concerter, sans épiloguer sur la protection de la planète, une ampoule normale a pris la place de l’économique et  on y voit ! Enfin!

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1 décembre 2009 2 01 /12 /décembre /2009 06:31
A chaque famille son vocabulaire, l’intégration du conjoint se fait ou pas, les mots s’adoptent ou se refusent, se mélangent, et pour finir le nouveau couple va créer son propre language.
Nous avons passé tous les 2 bien plus  de temps ensemble qu’avec nos parents, sans doute avons-nous nos propres usages, nos codes.
Chez Maky on disait la cour pour désigner le jardin, il a adopté jardin mais la cour surgit de temps en temps, vieux reste d’enfance.
Chez moi on mangeait des nouilles, je les ai laissées tomber pour des pâtes.
Chez lui c’est « l’oncle Séraphin ou la tante Marie »
Chez moi-nous c’est « Tonton Jacques ou Tantine Margot » et là encore une différence de traitement du mot existe.
De mon côté paternel le « tonton » est remplacé par oncle, "tantine" par tante
C’est en entendant Fille-Unique utiliser certains mots essentiellement issus de sa belle-famille que je réalise à quel point elle est « partie ».
Utilise t-elle le  « chez nous » en parlant de sa famille , celle que nous formions avant qu’elle crée la sienne.
Les mots, les expressions, les tournures de phrases marquent bien plus l’identité qu’un simple passage devant le maire, le reflet d’une famille est bien plus dans les mots que dans un livret.
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30 novembre 2009 1 30 /11 /novembre /2009 07:18
Des mois sans les voir et presque sans les entendre, des nouvelles par des sources extérieures, je savais que les hauts et bas se succédaient et puis hier l’heureuse surprise de les voir arriver, comme avant, avant qu’un mauvais coup leur tombe dessus.
Comme avant il m’a fait rire, comme avant elle a parlé des enfants, de  leurs projets, tout était comme avant.
Quelques mots lachés dans les commentaires et j’avais compris que le moral était revenu, avec lui l’envie de renouer le contact.
Fils aîné d’amisdetoujours a transmis à sa
fille les gènes de notre amitiè, elle nous connaît peu mais est à l’aise avec nous, à son fils il a transmis la tradition « de chez Mab on emporte toujours quelque chose ».
Tout est bien qui finit bien un dimanche.

Précision: Léon de Brignoles n'est pas mon oncle mais mon cousin au second degré.


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29 novembre 2009 7 29 /11 /novembre /2009 08:27

                                               * Léon et Mab.
Dans mes hésitations avec un « maman tu ne voudrais pas une oie pour noêl ? » un peu directif.
 Mais oui, mais c’est bien sûr, comme disait le commissaire Bourrel en se frappant le front, j’avais oublié que Fille-Unique élevait -aussi- des oies, je la soupçonne même de vouloir s’initier au foie gras.
Un tour sur le net  et j’ai mis de côté une recette qui semble simple et savoureuse, une bonne chose de faite !
Les choses se décantent peu à peu et je dors même le matin,(2 matins de suite) une nouvelle ère se profle t-elle à l’horizon d’un néfaste 2009 pour beaucoup d’entre nous.
Après Belle TT qui devient une pro d’internet comme une jeune, c’est au tour du cousin Léon de Brignoles de se frotter aux joies du virtuel à presque 80 ans... Bravo mon Lolo maman est fière de toi !

*Leon, nounou de Mab, à Port la Nouvelle en 1946.
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28 novembre 2009 6 28 /11 /novembre /2009 08:40



Elles me l’ont chaudement recommandé, mais rien à faire je n’arrive pas à entrer dans l’histoire.
C’est ma deuxième tentative et toujours pas le petit déclic, celui qui empêche de le poser avant de l’avoir fini. Pourtant il devrait me plaire, le résumé est tentant.
Seulement voilà, l’auteur est l’Espagnol, ça se passe en Espagne et moi l’Espagne, j’ai du mal.
Des raisons à cela, aucune !
Aucune raison non plus qui me font aller d’instinct, depuis quelques mois, vers la litterature scandinave.
Et en ce moment je cumule en matière de lectures réjouissantes.
Le plus grand des hasards me fait choisir des bouquins qui se passent en Suède, évoquent la difficulté de vieillir et la mort.
 A moins qu’Almodovar en tire un film (pas du tout son genre) l’Espagne attendra encore un peu. Dommage sans doute.
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27 novembre 2009 5 27 /11 /novembre /2009 06:50



Et déjà addict.
Mais qui me dira pourquoi nous n’avons pas utilisé cette petite merveille plus tôt ? Pas pensé tout simplement.
Quel plaisir de voir les enfants, bon j’avoue,  si je suis ravie de voir la jolie figure d’Henrichéri-tout sourires en gros plan, les autres aussi,  ce que j'apprécie beaucoup c’est bien de contempler, beate, ma fille.
L’image me suffirait presque, pour la conversation, le bon vieux téléphone fait très bien l’affaire.
Donc, allais-je dire, à 18 h je mets un coup de rouge à lèvres, enlève les lunettes et  attends que le PC sonne.
J’ai ainsi appris qu’Henrichéri avait fait 10 « évals » en une semaine, (tête épuisée) les océans n’ont plus de secrets pour lui, et un 17 en lecture est bien encourageant.
Avec Eugénie (obsédée par le docteur) qui entend sans doute trop parler de la grippe j’ai compris que Maky était malade, même en le voyant elle n’a pas voulu en démordre.
Il va sans dire que préfère voir qu’être vue.
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26 novembre 2009 4 26 /11 /novembre /2009 06:24
Dans ma rue il y avait côté pair, un café, une antiquaire, une blanchisserie, une boulangerie, une magasin de vêtements, une marchande de chaussures, un charcutier traiteur, une librairie.
Côté impair, 4 cafés, dont un épicerie, 2 bouchers, un plombier-quincailler, une poissonnerie, 2 bazars qui faisaient le bonheur des enfants, une teinturerie, une épicerie-primeur, un boulanger et je dois bien en oublier.
Maintenant dans ma rue, il y a toujours Sister l’antiquaire, elle a changé de côté, les cafés, les bouchers, mais les bazars, la charcuterie et la poissonnerie ont disparu, la teinturerie, le quincailler  et l’épicerie aussi, et d'autres ont disparu.
Des logements ont remplacé les bazars, les banques et assurances ont pris la place des commerces de proximité,  à 19 h ma rue commerçante de jadis est déserte.
Jadis c’était au siècle dernier, en 1971, le village plafonnait à 3000 habitants, le facteur passait  matin et après-midi, on pouvait sans problème ne pas avoir de voiture, il y avait tout au village.

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25 novembre 2009 3 25 /11 /novembre /2009 06:54
A midi Archi-mamy viendra déjeuner, Belle TT passera la prendre, toutes deux monteront l’escalier accompagnées de leurs douleurs aux genoux, pieds, dos et que sais-je encore, c’est chouette de vieillir.
Un déjeuner pour mettre au point les repas des fêtes. Il fût un temps où Archi-mamy prenait tout en charge, cuisinière hors pair elle trouvait grand plaisir à élaborer des repas fins et goûteux pour une tablée de plus de 12 ou 15 personnes, Archi-papy s’occupait des vins, Sister du dessert et moi…de la déco et de l’ambiance.
Avec ce qu’Archi-mamy préparait j’avais de quoi remplir les assiettes pendant 2 jours…
Après quelques ennuis de santé pour la cuisinière, maman a pris la cuisson du chapon en charge.
 Puis, petit à petit il a fallu faire croire aux arrières grand-mères (pour préserver leur amour-propre) que je trépignais de joie à l’idée de me mettre aux fourneaux, elles n’ont pas refusé…
Les années passant,  les estomacs sont moins résistants, les convives moins nombreux, (5 en 6 ans nous ont quitté)  et l’interrogation n’est plus « qu’allons-nous manger ? mais que va t-on supprimer du menu ? »
Une seule entrée sera suffisante, un seul plat de résistance et comme à chaque fois, la salade sera oubliée...
Sauf que les petits grandissent, qu’ils aiment les bonnes choses, que cette année les cousins de Perpignan seront là, qu’ils apprécient les plaisirs de la table et  nous voulons les gâter.
Alors Sister et moi cogitons pour que ce noël, le premier sans maman, ressemble malgré tout à quelque chose, tout en restant fidèle à notre devise «  pas d’ excés, pas de gaspillage » trop de gens ont faim.
Une chose est sûre, comme l’an passé je ferai une pleine corbeille de merveilles, bugnes ou oreillettes, appelons cette gourmandise comme on voudra, c’est à manger même sur la tête d’un pouilleux !
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24 novembre 2009 2 24 /11 /novembre /2009 07:20
                                       Auto-satisfaction*


Ils sont arrivés les bras chargés, comme d’habitude, 2 gros sacs de vêtements pour Eugénie, Paris-Brest individuels et leur affection.
Nous avons parlé des enfants, une fille pour nous, 2 fils et une fille pour eux, des petits-enfants 4 pour nous, 3 pour eux. Les sujets de réflexions ne manquent pas avec toute cette progéniture, bavardages et souvenirs sont le ciment de notre amitié depuis nos 18 ans.
 Si on nous avait dit que presque 50 ans plus tard nous hésiterions quant à nous faire vacciner ou pas, avec un fils médecin ils ne sont pas plus avancés que nous.
Il me manquait juste quelques heures pour qu’Amiedetoujours puisse emmener sa bande brodée, tant pis je lui enverrais.
Maintenant la question se pose pour moi, que broder le soir en regardant-écoutant C dans l’air ?

* 1,75 de feston à broder et à découper à ras, je suis contente du résultat.


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23 novembre 2009 1 23 /11 /novembre /2009 06:52
Je les attends pour déjeuner, de leur côté je sais qu’ils se réjouissent de ces quelques heures volées à un quotidien pas toujours tranquille, ils sont sur les rotules après avoir gardé les petits-enfants pendant 3 semaines, séjour qui s’est terminé en beauté avec au moins 2 scarlatines (je croyais cette maladie disparue).
Donc ils ont besoin de détente et nous retrouverons avec une facilité déconcertante nos 20 ans avec en filigrane petits soucis et grands tourments que la vie nous dispense généreusement.
Le Paris-Brest qu’elle va apporter sera dévoré sans état d’âme, Lui nous débitera ses nouveaux projets  avec un débit de mitraillette, Elle se tordra les mains de désespoir feint, je surveillerai la position des ses pieds, s’ils sont tournés en dedans c’est pas bon signe (grand énervement), entre Amis de toujours la journée passera trop vite mais nous aurons fait des projets.
Projets qui ne seront pas menés à bien, nous sommes spécialistes des actes manqués.
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