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30 septembre 2007 7 30 /09 /septembre /2007 08:21
ibiscus-geant.jpg

 Ce samedi avec un beau soleil et une température agréable, si ce n’est que je me suis cassée une dent, devant bien sûr, que j’ai dû aller rendre une paire de chaussures acheter la veille, pour cause de gros défauts que la vendeuse à eu un peu de mal à admettre. Essayez la bouche entrouverte d’avoir l’air dans votre bon droit ? Surtout quand vous êtes la seule à pouvoir faufiler la main à l’intérieur de la chaussure quand les autres ne sont munis que de « patasses ». Le défaut enfin dûment constaté, consigné et faxé je croyais, pauvre innocente que je suis, repartir avec une autre paire, beaucoup trop simple, il faut la commander, attendre qu’elle arrive et enfin je serai chaussée pour l’année.  Deux contrariétés de cet ordre c’est beaucoup pour un samedi ensoleillé. Donc je résume, une dent cassée qui laisse présager des travaux longs et coûteux, une paire de chaussures  dont je ne peux disposer avant une bonne semaine, envie de sucré toute la journée, je n’ai pas cédé et ce matin une connexion paresseuse, si j’ajoute à cela que depuis 10 jours que je suis rentrée de vacances nous n’avons pas eu 10 mn tranquilles avec Pomponette et Sister pour bavarder de tout et de rien…Heureusement que nous habitons la même maison !

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29 septembre 2007 6 29 /09 /septembre /2007 07:19
pour-le-plaisir.jpg          
                                                              Pour le plaisir des yeux.

Partir  presque 3 heures avant l’heure du train cela peut paraître un peu exagéré et bien parfois c’est un peu juste…ralentissement, bouchon, encombrement, pluie et re-pluie,  tout s’est mis en œuvre hier pour me faire stresser. Larguées en sous-sol par Maky, une Simone dans la cohue inquiète pour son train, il a fallu jouer de la cane et des coudes pour parcourir la galerie des provinces dans un sens et dans l’autre avant que la voie du train ne s’affîche, ensuite tout est de ma faute, ma très grande faute, je me suis trompée dans le N° de train et c’était parti pour un sprint jusqu’au bout du quai et retour au début du train. Quand je dis que je n’aime ni les gares ni les trains, toujours peur de me tromper…Tout est bien qui finit bien, la belle est arrivée à bon port, réceptionnée par sa fille sous un soleil magnifique et une température estivale sans vent du Nord !
Pendant ce temps pour Sister et Pomponette, cure de silence et de la pluie et encore de la pluie. Histoire de voir autre chose que les gouttes j’ai fait un sort à ma montagnette de repassage et commencé à regarder un modèle à coudre pour Maminette, cette fois je me lance dans les manches, je prends un tissu dans lequel on ne verra pas trop les bêtises qui ne manqueront pas. Un peu déçue par les derniers épisodes de la saison 3 des Desperates, c’est le problème sans doute quand l’excellence n’est pas toujours au rendez-vous mais quand même vivement la suite !                                                                                                         

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28 septembre 2007 5 28 /09 /septembre /2007 06:41
chambre-d-hotes.jpg

Même si le temps se prête plus à rester au coin du feu (qui n’est pas allumé) il faut bien sortir Simone et son amie Pomponette, 170 printemps à toutes les deux et de l’énergie à revendre. Direction le jardin-musée de Bourdelle, belle réalisation qui draine pas mal de monde dans notre région déjà bien riche dans le domaine artistique. Pas besoin de préciser que nous étions seules face au vent et aux statues monumentales exposées dans le jardin qui avait déjà des couleurs d’automne, dans le potager décoratif et non consommable les citrouilles donnaient un reflet de soleil en attendant sans doute Halloween. Vite à l’abri dans la voiture pour quelques centaines de mètres et tout le monde descend pour visiter l’église d’Egreville, la liste de ses curés depuis 1152 est impressionnante, la vieille halle en face fait resurgir des souvenirs de foire à la brocante quand nous exposions chaque année pour Pâques…On y a tout connu là-dessous, pluie, tempête, neige et même canicule, bonnes affaires et déconfiture totale, jamais rien de mitigé ici, tout dans extrême.
Retour par Château-Landon, ses remparts, sa ville-forte et son église où je me suis mariée il y 42 ans, et Fille Unique il y a 12 ans. Simone serait presque muette en voyant les montagnes de betteraves dans les champs, elle, si habituée à voir des vignes, vignes qu’elle retrouvera ce soir puisque c’est son dernier jour ici, nous la ramenons gare de Lyon tout à l’heure.       

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27 septembre 2007 4 27 /09 /septembre /2007 08:51
pour-flo.jpg                                                            
                                                                     Pour la Flo.

Les précieuses ridicules qui disaient à leur valet « Véhiculez-nous ici les commodités de la conversation » quand elles avaient l’intention de papoter à l’aise dans un fauteuil avec leurs copines ne pourraient certes pas renier quelques expressions bien obscures qui circulent dans certains milieux. Mères au foyer qui craignez les mercredis sans fin dites à vos enfants de saisir le référentiel bondissant et d’aller dehors, le temps qu’ils comprennent ce sera l’heure de les envoyer au lit et le ballon sera toujours rangé à sa place. Sachez géniteurs d’apprenants que si votre enfant s’investit dans l’espace extérieur c’est qu’il s’ennuie en classe et préfère regarder par la fenêtre, il serait peut-être temps de lui faire oublier l’école à cet apprenant. Quant à l’outil scripteur permettant la motricité de proximité, celui-là il me plonge dans des abysses d’incompréhension totale. S’agit-il du bras, de la main ou bien des 2 ? Décidemment il n’est pas facile passée la soixantaine de ne pas se sentir exclue, mais je m’en moque, tant pis si je ne comprends rien au monde qui bouge, j’appelle encore un chat un chat, un ballon un ballon, qu’il soit ovale ou rond, j’ai des petits-enfants qui sont de bons élèves et non pas de bons apprenants et ce matin il ne pleut pas encore, au fait comment compliquer le mot « pluie »

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26 septembre 2007 3 26 /09 /septembre /2007 07:28
eug--nie----la-plage.jpg

Un certain raleur chronique ne m’en voudra pas sans doute de me lancer aussi dans la narration de mes démêlés avec la fameuse carte d’identité qui est son fond de commerce depuis quelques temps. Ses problèmes sont beaucoup plus importants que les miens qui ne sont dus qu’à ma propre négligence. Explications.

Le 30 juillet 1992 je fais quelques courses à la petite surface, mets le tout dans un carton, rentre à la maison, descend le carton vide dans le couloir et dans la soirée le met dans la rue avec quelques journaux pour que les éboueurs le prennent le lendemain matin, jusque là tout est normal sauf que le matin avant de partir travailler je passe en revue mon sac et cata de chez cata, mon portefeuille a disparu ! Je ne suis pas longue à comprendre que l’objet si précieux est parti dans le carton, le camion est passé depuis 3 h, il faut que je le retrouve car dans ce portefeuille, presque rien, le salaire de Maky qui à l’époque est payé par chèque, celui de Fille Unique pour des heures de pionne à l’Ecole Alsacienne, le liquide pour partir en vacances le lendemain, CB, carte d’identé et permis de conduire. Ni une ni deux, le travail attendra, je file à la décharge et attend le camion qui arrive sous peu, il fait chaud, l’air est irrespirable, j’ai mis des bottes, on me donne une fourche et aprés m’avoir indiqué où se trouvent les ordures de ma rue me voici arpentant la montagne de détritus, pas sœur Emmanuelle sur la décharge de Calcutta mais presque. Au fur et à mesure de ma progression lente et parfumée je reconnais les poubelles de la poissonnerie, celles du marchand de cuir, celles de la librairie, du tabac, mais la mienne est absente du paysage, au bout de 3 h de recherches vaines, une douche, une énorme vaporisation de Guerlain et en route pour la banque, oppositions diverses, téléphone à Maky en déplacement pour qu’il se fasse refaire un chèque, l’Ecole Alsacienne est bien sur fermée, bref rien que des corvées, permis à refaire et CI de même, mais ça attendra encore un peu, le peu se termine maintenant, j’ai décidé qu’au bout de 15 ans il était temps d’être en règle et que c’était la dernière. En tout et pour tout dans ma vie j’aurais eu 3 cartes d’identé. Ne reste plus qu’à réunir les papiers nécessaires.

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25 septembre 2007 2 25 /09 /septembre /2007 12:15
esterel.jpg                                                              L'Estérel au soleil couchant.

Hier en post-it je vous mentionnais un livre qui me plaisait beaucoup, livre neuf ramené de vacances, jusqu’à hier soir 19 h tout se passait à merveille dans ce coin du sud de l’Angleterre, les 3 fillettes amies d’enfance se retrouvaient, les retours en arrière, comme je les aime étaient nombreux et j’allais enfin comprendre et savoir ce qui était arrivé une certaine nuit à ces 3 héroïnes quand…Non, Maky n’est pas venu réclamer sa pitance, non, personne n’est venu sonner à la porte pour nous vendre des fenêtres triple vitrages, le téléphone est resté sage, rien de tout cela n’est arrivé sauf que le livre est passé sans prévenir de la page 223 à 272, c’est quand même beaucoup comme saut, il me manque le plus important j’en suis certaine, les 3 pages d’explications indispensables étaient là c’est sûr, et je me suis retrouvée comme une idiote à tourner frénétiquement les pages restantes à la recherche d’une lueur de compréhension, mais je suis toujours dans le vague et les interrogations…Sale coup pour une lectrice qui se sent dépossédée du meilleur moment du livre.
Simone me demande de rectifier, elle pèse 44 kilos et non 40, la différence est de taille, on frise l’obésité non ?
Plublication tardive, l'administration avait des soucis, mais pas de disparition des archives comme cela est  arrivé cet été pour certaines d'entre nous. Les commentaires étaient bloqués eux aussi et j'y répondrai ce soir.
Bonne journée au soleil sous un vent plus que frisquet.

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24 septembre 2007 1 24 /09 /septembre /2007 06:39
valras.jpg

Je trainasse, le mot n’est pas joli mais il correspond exactement à mon état, donc je trainasse d’un étage à l’autre d’une pièce à l’autre, ouvrant une armoire, un tiroir, un livre, que quelqu’un me mette un bon coup de pied aux fesses pour finir mes lessives, ranger le sac de voyage béant et vide sur le palier, j’en conclus que je suis partie trop longtemps…
Habituellement à chaque rentrée ou retour de vacances une seule chose m’anime et me propulse dans des ardeurs ménagères dévastatrices : remplacer la poubelle par une neuve ou bien (ou pas et) changer la sauteuse Té*al. Mais ces jours-çi aucune envie de me lancer dans la quète de la poubelle parfaite ou de la sauteuse indispensable. Quelques projets de déco à finir ou de mini travaux à entreprendre essaient en vain de s’installer dans mon cerveau mais jusqu’à présent sans grand succés, j’ai l’esprit vacant et libre à un point  que cela en est inquiètant. Je vais me reveiller, sans doute  un problème d’horloge interne, d’adéquation entre le froid du matin et le soleil de l’après-midi, trop de changement d’un coup entre le bleu du ciel et de la mer et la verte campagne du Gâtinais. Je m’accorde encore quelques jours le droit à trainasser, après tout c’est le privilège accordé à ceux qui ne travaillent pas.

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23 septembre 2007 7 23 /09 /septembre /2007 08:32
Tuchan.jpg                                                                            Tuchan dans l'Aude qui a vu naître
                                                                                  Pomponette en 1923.

Pas très motivant pour le reste de la journée de se lever  dans un brouillard automnal, pas très chaud en plus. Dans nos valises nous avons ramené une amie de Pomponette, elles se sont connues à 14 ans… Veuve elle aussi de fraîche date, sa venue est un exploit, la dernière fois date de 31 ans. Vive, alerte, 40 kilos, des cheveux blancs bouclés sans l’aide du coiffeur, le sens de la répartie, bref un personnage encore dans la galerie de portrait des « amies de Pomponette » Simone donc puisque c’est ainsi qu’elle se prénomme a vécu hier une grande première : la pluie. Chose qu’elle n’a pas vu dans son coin perdu de l’Aude depuis 6 mois. Autre première, le petit Damart sous le pull et les chaussettes fin septembre. Au moins elle ne sera pas venue pour rien après toutes ces expériences.
Quant à moi hier j’ai mené à bien une tache de la plus haute importance, rattraper mon retard avec les Desperates, grâce à Sister qui a fait chauffer le magnéto pendant mon absence, Maky lui a tondu la pelouse qui n’en n’avait pas un grand besoin…
Un petit tour dans le potager pour voir que la citrouille prospère, le raisin abondant et sucré, il y a même quelques salades rescapées.
En gros c’est à peu prés tout ce que j’ai fait hier c'est-à-dire pas grand-chose, mais ce matin je dois impérativement aller sur le marché, le frigo est proche du vide sidéral à part la saucisse qui vient d’Olonzac et que je vais congeler pour que nous en profitions un peu plus longtemps, c’est un pur régal.
Bon ce n’est pas tout ça mais il me tarde d’aller voir mes petits et grands. Dimanche dernier N°3 a fini sa journée aux urgences, chute de vélo, grosse plaie au « brasquiécrit » et au front, points de sutures et le lendemain à l’école. Fille Unique à l’habitude avec lui, épaule démise, cervicales déplacées et front déjà bien couturé. Et puisqu’il faut en toutes circonstances un responsable il en avait un tout trouvé : N°2...

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22 septembre 2007 6 22 /09 /septembre /2007 08:25
la-vieille-maison-olonzac.jpg

Plusieurs constations s’imposent après presque 3 semaines hors de chez moi. Rien de tel que quelques kms pour que le quotidien s’efface un peu.
Kilomètres parsemés de cousins-cousines et amis, renouer des liens et s’apercevoir qu’ils n’étaient aucunement distendus, c’est agréable !
S’en mettre plein les yeux et la mémoire de paysages magnifiques, y compris le Larzac hier, c’est bon pour l’automne et l’hiver qui viendront immanquablement…
S’écrier intérieurement « Chéri on a rétréci mon village natal ! » ça fiche un coup au moral, d’ailleurs je n’ai toujours pas compris pourquoi quand j’avais 10 ans il nous fallait une journée entière pour faire le tour du village et aujourd’hui à 63 ans en 30 minutes c’était bouclé ! Il est vrai que j’ai n’ai pas rencontré de joueurs de billes, pas eu à faire des détours afin d’éviter certains vieux munis de canes, assis toute la journée au soleil pour nous surveiller aurait-on dit.
La constatation qui m’a procuré le plus de désillusions fut l’expérience du cyber-espace, pas du tout comme dans les films où l’on voit le héros s’installer devant le PC et d’un œil distrait consulter ses emails, en expédier, scanner des documents de la plus haute importance et même entrer dans les programmes du FBI, non rien de tout cela pour moi, de plus il faut se munir de tous ces codes et identifiants…
Bon maintenant je n’ai qu’une hâte, aller vous lire, vous commenter, et reprendre mes activités habituelles.

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17 septembre 2007 1 17 /09 /septembre /2007 08:24

 

Destination souvenirs d'enfance, nouvelle maison, nouveau lit, pour la sédentaire que je suis tout ça c'est du changement! hier enfin une plage digne de ce nom avec du sable, des enfants qui font des chateaux, des petits pieds nus qui jouent avec les vagues, des seaux que l'on remplit pour vider la mer, un repas au restaurant interminable comme la veille, mais ça alimente les conversations, visite à la vierge noire et grimpette bien raide jusqu'au toit de l'église pour admirer la Camargue d'un seul coup d'oeil. Cousine Coco vient de partir travailler, pas de transport en commun pour elle, 10 mètres à faire et elle est à pied d'oeuvre, le soleil comme une boule de feu s'est levé sur l'étang, il va faire beau et chaud, c'est d'une banalité...


Je vais aller ranger la voiture qui est  sens dessus dessous, j'ai horreur de ça, c'est curieux comme au départ les choses prennent moins de place, il est vrai que j'ai un gros sac en plus de vêtement pour Maminette et les garçons, mais pas d'achats de souvenirs, le chapeau de gardian n'a pas tenté Maky, ni moi la robe de gitane

 

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