Comme je l’espérais il a plu une bonne partie de la journée.
Cette eau tombée du ciel m’a permis de bien avancer ma lecture.
Wallander est toujours aussi déprimé, toujours entre 2 rhumes, toujours célibataire mais ses intuitions si elles ne font pas l’unanimité au sein du commissariat pourri qui abrite son équipe, ses intuitions donc, ressemblent au fil d’Ariane, elles démêlent de façon magistrale l’écheveau d’une intrigue particulièrement embrouillée.
C’est le meilleur Mankel que j’ai lu.
Changement de décor, les Desperates me procurent un début de soirée fertile en rebondissements, mais 2 épisodes, c’est bien court, un coup de zapette m’expédie sans transition sur la Tour de Babel, documentaire passionnant mais briseur de certitude, la tour n'était pas ronde mais carrée, ça change tout...
Pendant ce temps sur la Une des petits singes-cabots chantent devant les parents qui réalisent leurs rêves par enfants interposés. Affligeant !
Le foot sur la 2 s’éternise, Ruquier et ses chroniqueurs devront se passer de ma présence.
Tout à l’heure le marché se fera sous la pluie.