7 octobre 2011
5
07
/10
/octobre
/2011
07:09
Vendredi 07 octobre 2011
L’un raconte avec humour la vie des bonnes noires chez les blancs, les humiliations, la misère, le regard des enfants sur leur bonne qui sait si
bien consoler. Pas de pathos ni misérabilisme.
L’autre raconte l’Amérique des années 80 par le biais d’un couple en recherche de recette du bonheur, c’est un peu laborieux, à mon goût, et
fastidieux à ingurgiter. Pourtant j’avais aimé Les Corrections.