16 mars 2010
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Aux pieds, les bottillons d’hiver, ils ont arpenté New-York en long, en large en travers et en-chantement, la mission que je me suis
assignée est simple, enlever une épaisseur de 40 centimètres de feuilles de glycine d’une plate-bande.
J’ai choisi cet endroit parce que le soleil y chauffera mes vieux os et qu’il faut bien commencer quelque part.
Rateau, poubelles vertes, et mains nues, le travail se fait vite, l’ardeur du printemps qui pointe son nez semble couler dans mes veines.
Les lys Saint Jacques sont dégagés, l’envahissante menthe aussi et là je me laisse aller à un plaisir non écolo, un beau feu de joie et de feuilles bien sêches.
Cet après-midi, opération polygonum sur le toits des garages…
J’ai choisi cet endroit parce que le soleil y chauffera mes vieux os et qu’il faut bien commencer quelque part.
Rateau, poubelles vertes, et mains nues, le travail se fait vite, l’ardeur du printemps qui pointe son nez semble couler dans mes veines.
Les lys Saint Jacques sont dégagés, l’envahissante menthe aussi et là je me laisse aller à un plaisir non écolo, un beau feu de joie et de feuilles bien sêches.
Cet après-midi, opération polygonum sur le toits des garages…