Le trio infernal, la cane, son mari et son amant.
Depuis 8 ans je les observe, c'est Dallas en pire.
Avril, avril, c’est vite dit, juillet serait beaucoup plus approprié et encore un mois de juillet beau et chaud, sans la couette sur le lit, la fenêtre et les volets grands ouverts la nuit, avec le bruit de la rivière qui nous berce, les hirondelles sur la goutière dès le matin et la chaleur qui s’installe déjà dans la maison malgré les précautions prises. Un avril-juillet qui a vu dimanche mes petits normands faire une promenade en bâteau-mouche, j’imagine leur joie et leurs exclamations devant un Paris défilant sous leurs yeux de petits paysans. Après cette promenade sur la Seine place à la découverte au palais du même nom, pour leur dernier jour de vacances ils ont été gâtés avec cette journée: Profiter de papa et maman rien que pour eux, sans lapins, ni vaches et encore moins de Maminette restée dans sa maison avec ses grands-parents, ce n'est pas si souvent. N°3 a du chercher en vain dans les rues de la capitale un tracteur…
Vous ai-je dit, oui sans aucun doute, toute les satisfactions que nous avons avec nos tomates, après transplantations en godets individuels elles redressent fièrement leurs tiges graciles, et semblent nous remercier de tous les soins que nous leur apportons. Demain je plante les oignons rouges, indispensables avec la salade de tomates et la semaine prochaine je sème les premières laitues, gare aux limaces !
Hier petite virée avec Cerisette et Sister au magasin de tissus, déception de ne pas avoir trouvé la toile recherchée pour le store du jardin, il faut impérativement la changer, mais les couleurs bayadères acidulées proposées ne nous conviennent pas, classiquement nous voulons du vert et blanc. Tous les coussins sont ainsi, le parasol aussi, il nous reste à chercher sur internet…
Toutes ces informations importantes afin d’éviter de parler de ce qui fait l’actualité ce matin, fusillades, massacres, fillette écrasée par une voiture, l’horreur se banaliserait presque.