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14 août 2008 4 14 /08 /août /2008 07:08


A peine une heure de route pour passer sans transition d’une immersion totale «  c’est mon tour, j’prends mon vélo, on fait un ping-pong, arrêeeeeeeeeeeeeeeeete de m’embêter, Maaaaaaaaaab t’es où, qui vient se baigner ? » à la rencontre avec une Otir absolument telle que je l’imaginais, regard bleu et brillant, bonne humeur chevillée au corps quoiqu’il arrive, répondant de bonne grâce à mes questions avec la précision que l’on lui connaît  sur son blog.

Mais là franchement je ne sais plus que dire, Heure-bleue a ouvert la marche en publiant un billet dès notre séparation parfait en tous points, ce matin je lis celui d’Otir, parfait lui aussi bien sûr alors ce que je pourrais dire devient presque inutile

Joyeuse rencontre sous le signe de la sympatie partagée, bourrasques de rire, souffle d’amitié confirmée, soleil qui joue dans les nuages, une jeune fille qui lit Jane Austen mais ne perd pas une miette de nos propos d’une impérissable banalité, à ces yeux sans doute, elle a du nous trouver bien bruyantes, le vent emportait nos « déjà , ah c’était très sympa, bon retour, à demain sur les blogs » Un peu de frustration, beaucoup de fatigue mais un beau début de nos vacances à nous !

Recommandation : ne faites pas confiance à un parisien, si vous lui dites « jardin des plantes » aussitôt il vous répond, « Super ! J’adore, c’est toute ma jeunesse » A part ça il est infoutu de vous donner le nom de la place, à part l’arrêt du bus 61 c’est tout ce qu’il est capable de vous dire !!!


Non le Goût ne dis rien !Tu es nul sur ce coup là !!!

Ceci dit tu nous a fait bien rire.


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13 août 2008 3 13 /08 /août /2008 06:56


Après 15 jours avec Eugénie et Henri et 10 jours avec les 3 garçons, passer sur la balance devient un plaisir, -3 kilos que je vais tenter de ne pas reprendre.

Oublier la boite de chocolat noir à cuire, bouder le petit morceau de pain, allez juste un encore, pas trop de beurre sur les coquillettes et moins de temps devant l’écran…yapuka. En attendant d’appliquer ses belles résolutions il faut réveiller les petits, descendre les sacs, vérifier, lister, juguler leur impatience et réver à la cure de silence que nous ferons au retour dans la voiture. Pas un mot entre nous jusqu’à Paris où nous rencontrerons des blogueurs.

Petit bilan :

 L’été ne s’est jamais vraiment installé mais les enfants se sont baignés tous les jours.

Les sorties prévues ont pu se faire.

Pas de vraies disputes entre eux, juste des petits agacements.

Pas de canicule donc des nuits fraiches.

Et c’est déjà la fin du séjour, fatiguée et  heureuse de retrouver ma petite sieste, finalement c’est ce qui me manque le plus mais avec Henri c’est mission impossible à moins de l’assommer, mais ça j’hésite un peu…

Un bel été pour attendre les prochaines vacances.

La dernière d' Henri: le beefsteack se fait avec une hachette...


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12 août 2008 2 12 /08 /août /2008 07:34


Depuis le matin il comptait les heures qui le séparaient de son papa, depuis midi l’impatience faisait briller ses yeux, les petits bouts de phrases fétiches fusaient de temps en temps : «  papa m’a dit que tout était hyper-organisé » mais « papa »  avait montré quelques doutes aussi et Arthur l’avait rassuré.

 15h30 Maky et le petit  voyageur sont prêts à partir pour la gare de Lyon, la main sur la poignée ; le téléphone sonne et comme chacun sait tout est possible à la SN*F, surtout un accident sur la voie qui va occasionner au mieux 2 heures de retard pour le rendez-vous avec son père, pas grave il ne l’a pas vu depuis février….

Tristesse et résignation, au pire comme il dit je le verrai demain…

Finalement le père et le fils se sont retrouvés à 19h au lieu de 17 heures. Grand frêre taquin est parti, les 2 restants soufflent un peu !

Et ce matin il pleut, il fait froid, j’ai bien du mal à me reporter 5 ans en arrière, le ciel était alors incandescent, le soleil meurtrier, papa épuisé de lutter contre cette chaleur dévorante tirait sa révérence et laissait Pomponette  toute seule au jardin.

5 ans c’est long et court à la fois.

07h43: Arthur vient d'appeler, le père et le fils sont bien dans le train qui les emmène à Biarritz, ouf!!!! vu l'heure du train c'était pas gagné....


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11 août 2008 1 11 /08 /août /2008 08:00


C’est vrai qu’il avait plu toute la journée, c’est vrai qu’ils n’avaient pas eu l’occasion de se défouler beaucoup, c’est vrai qu’Arthur ne pensait qu’à cette journée interminable qui le séparait de son papa, c’est vrai qu’Henri…à non lui-même sous la pluie il pédale, chante, et me fait hurler de rire, c’est vrai que Victor aurait bien regardé des K7 toute la journée mais ça, ce n’est pas possible. Alors hier soir, après le repas quand j’ai senti que l’ambiance penchait du mauvais côté, quand le « Allez ! On monte, les dents et au lit » n’a eu aucun effet, quand je les ai vu escalader Maky comme l’Everest, je ne me suis pas époumonnée mais suis allée chercher l’arme fatale culinaire, la cuillère en bois aux pouvoirs magiques puisqu’en 30 secondes, le calme était revenu et les dents en cours de brossage.

 Fallait pas m’embêter le soir de Barnaby ! Arthur m’a avoué qu’il avait eu la peur de sa vie, Henri a demandé si le coup aurait été donné cul nu ou pas et Victor se demande encore si j’aurais osé ou pas m’en prendre à son auguste fessier ! Méfiance les enfants Arthur vous le dit souvent « Elle est capable de tout Mab »


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10 août 2008 7 10 /08 /août /2008 08:15


Les poches des garçons sont une vraie malle aux trésors, on y trouve des papiers de bonbons, plus facile à mettre dans la poche que de trouver la poubelle, de vieux bouts de ficelle, un élastique, une petit caillou accompagné d’un morceau de bois, 1 centime  ou deux « oubliés » après avoir été chercher le pain, un vieux mouchoir en papier qui servira bien encore une fois ou deux, un emballage de malabar, pour les grands-mères en devenir j’explique : la raison d’être du malabar est de servir de support à  un papier-tatouage destiné à décoré de manière plus ou moins longue bras et avant-bras des garçons, au pire le mollet de Maky, quelques machouillis plus tard le concours de bulles occupe un bon moment, jusqu’à l’explosion sur tout le visage de la « méga-bulle », ceci étant fait le malabar n’offre plus aucun attrait et il faut encore trouver une poubelle, trop dure la vie !

Les genoux des garçon doivent impérativement s’orner de croutes, plus ou moins sêches, de petits graviers collés et d’une belle couleur rouge sang, ces éléments indispensables étant réunis l’enfant s’enfermera dans la salle de bain et en ressortira avec un bandage digne de 14-18, tellement serré qu’il boitera mais c’est ça le top du top !

Les oreilles des garçons échappent souvent aux douches interminables mais peu lavantes, ils ont la  faculté extraordinaire de rester très très longtemps sous la douche et d’en ressortir presque aussi sale en tous cas au niveau des oreilles. Mais la grand-mère veille, elle poussera même le sa*isme jusqu’à imposer le coupage d’ongles générateurs de grands cris et de souffrance atroces !




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9 août 2008 6 09 /08 /août /2008 07:03

Privilégiés que nous sommes d’habiter en centre ville et d’avoir un grand jardin, nous ne nous sommes pas rendus-compte à quel point le village avait souffert  de la tempète, partout arbres arrachés, cheminées par terre, volets ne tenant plus que par miracle, familles au bout de la rue privée d’électricité depuis l’orage, leçon de natation annulée et nous, focalisés  sur l’eau de la piscine !!!!  Hier tout le long de la route, branches et feuilles jonchaient le sol.

Les enfants étaient ravis de leur journée, toujours très gâtés par nos « amisdetoujours » le spectacle* des aigles les a enchanté, le karting au camping a répondu à leurs attentes, mon petit malade a fait comme si tout allait bien et nous sommes rentrés épuisés, décidemment il nous en faut peu pour être fatigués…

Une bonne nouvelle dans la soirée, Arthur a eu confirmation de son départ à Biarritz avec son papa, je suis soulagée car j’avais comme un mauvais pressentiment, son père manquant quelque fois d’organisation dirons-nous ! Et nous avons eu droit pour la centième fois au couplet d’Henri «  Maintenant que Papa et maman sont mariés c’est mon papa son vrai papa » et hop! exit papa-bio, circulez y a rien à voir, pas de raison qu’Arthur ait 2 papas, un seul est grandement suffisant !!!

*Encore une fois je me demande comment font les familles« moyennes » pour offrir à leurs enfants des distractions de ce genre, c’est un vrai luxe !!! Privilégiés encore que nous sommes , nos amis ont leurs grandes et petites entrées sur les remparts et sont intimes avec un cascadeur-fauconnier, papa de leur petite-fille !


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8 août 2008 5 08 /08 /août /2008 07:39




A ce vaste programme je dois ajouter l’interrogation météo, pluie ou soleil ? Henri en forme ou pas après une poussée de fièvre cette nuit, vite jugulée avec un sachet de dol****ne  abondamment sucré, sinon ça ne passe pas !

Il a tout intérêt à être en forme car son « ami pour toute la vie » lui a promis un tour de tracteur, et la perspective de parler d’égal à égal avec lui est bien plus tentante que les spectacle des aigles sur les remparts, chacun ses priorités dans la vie. En ce moment pour Arthur c’est d’aller chez les 3 mousquetaires avec son vélo.

« Dis Mab quand j’aurais 15 ans je pourrai aller à Nemours en vélo ? » «  Oui on verra » Phrase magique qui ne refuse rien mais ne promet rien non plus. Je suis une grande consommatrice du « on verra »

Le jardin a presque repris son allure d’avant orage, enlever les 2 branches de sapin à moitié arrachées n’a pas été une mince affaire, échelle trop courte, palan trop ceci, conseils d’Henri le tout mis en boîte par Arthur. Pendant ce temps Victor se reposait du balayage de la terrasse du matin, la pompe filtrait et le soleil jouait à cache-cache.


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7 août 2008 4 07 /08 /août /2008 09:37


Le mot est un peu fort si je compare notre sort à celui de ces pauvres gens dans le Nord qui on tout perdu mais le jardin ressemble ce matin à un mini champs de bataille, les fleurs de Pomponette ont subi les assauts du vent et de la pluie, la piscine a perdu sa bâche de protection et l’eau me semble bien verte pour qu’un quelconque traitement lui redonne une belle couleur azur, le sapin s’est déplumé de quelques belle branches, 2 gouttières ne nous appartenant pas ont élu domicile chez nous, les tomates ont pris un air penché et ce matin au réveil Henri est moi étions dans le noir complet, sympa les volets électriques quand le courant ne passe  pas, désagrément de courte durée, heureusement.

La bonne nouvelle c’est que nous avons de la main d’œuvre pour nettoyer tout ça.

La journée d’hier, limite caniculaire, a vu mes 4 lascars dans l’eau tout le temps, cette année la piscine est rentabilisée, peu ou pas de disputes, très peu d’insultes, les devoirs de vacances faits sans trop rechigner et même avec plaisir pour Henri qui après une leçon –ludique avec Perfecta ne lit plus Kédric pour Cédric.

Dans la moiteur de la chambre un grand moment de plaisir avec un reportage sur Steinitz, ses ventes aux enchères et ses ateliers, caverne d’Ali-baba. Voir de belles choses lave la tête au moment de dormir.


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6 août 2008 3 06 /08 /août /2008 07:00

Hier ils se sont mis à 4 pour m’embobiner, à 4 pour me faire croire que les « gueules d’ange » qu’ils affichent n’étaient pas du bluff, Maaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaab stepléééééééééééé, mais je résiste. Quentin le meilleur-copain-presque cousin est arrivé , déplaçant son mètre quatre vingt avec nonchalance, trimballant la PS2, les raquettes de pro et ses bientôt 16 ans devant mes petits nains beats d’admiration. Je suis sûre que dans 1 heure les 3 petits seront sur le pied de guerre en attendant le réveil tardif de Quentin, une chaude journée se prépare, la piscine encore calme.Comme prévu, ils ont tourné dedans tous les 4 en se lançant un maillot en guise de ballon, une belle occupation dans 90 cm d’eau. Mais avant  cela, il y avait eu une matinée studieuse : verbes irréguliers commençant par B à l’endroit, à l’envers, dans l’ordre et le désordre, ensuite un balayage de terrasse (je ne pense pas qu’Arthur fasse un bon cantonnier), Henri le petit jardinier (oui Heure-Bleue c’est son 2 ième séjour) a bien aidé, avec le sourire, son arrière grand-mère,  pendant ce temps Victor cherchait sans doute ses sandales et moi une idée pour remplir 3 estomacs criant famine toutes les 2 heures. C’est la partie la plus «  pénible » des vacances.

Une belle journée pour tout le monde qui se termine pour moi devant un documentaire nous montrant un français en mal d’affection partant chercher l’amour en Russie, les grands gagnants de ce conte de fées modernes sont bien évidemment les agences organisatrices de ces rencontres…


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5 août 2008 2 05 /08 /août /2008 06:57

                                                                                Le village olympique!

L’objectif étant de ne pas trop se laisser distancer nous déployons ruses et efforts en tous genres pour sortir vainqueurs de quelques épreuves. Dès le matin Henri a voulu se mesurer à moi en jouant aux dames, quand même un peu échaudé par mes performances au baby-foot il affichait un profil modeste. Bien lui en a pris, j’ai gagné ! Quelques temps après Arthur à pris une déculotté mémorable avec Sister, toujours aux dames…Ce qui a vengé celle-çi des multiples défaites  et ruines qu’il lui inflige au 1000 bornes et monopoly.

La moisson des médailles de ces tournois inter-familiaux s’est poursuivie avec la victoire de Maky sur Arthur au ping-pong, de justesse mais l’honneur est sauf, du moins pour la journée d’hier.

Journée passée en grande partie dans la piscine: 2 grands dadais qui courent dans l’eau pour créer un remou, ça peut durer des heures…Un petit Henri qui a repris les leçons de natation et trouve « tout super dans la vie » ça change du grand « c’est nul la boulangerie fermée » Trop gâté ! Quelques verbes irréguliers à me réciter par cœur vont redresser la barre, quant à Victor son leit-motiv depuis 3 jours est « Maaaaaaaaaab où t’a mis mon maillot ?  Ce à quoi je réponds « mais comment faisais-tu au camp ? »

Avoir une boulangerie en face de chez soi fermée en août, c’est vrai que c’est nul !

Avoir un maillot qui se cache tout seul derrière un fauteuil c’est de la persécution.

Avoir un Henri à ses côtés pour commencer la journée, c’est super la vie !


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